Sylvain VERNEREY, Directeur d'exploitation du Musée Français du Chemin de Fer

« Je suis très attaché à "mes caves beaunoises", mais la découverte de l'Alsace et de sa qualité de vie font de moi un véritable Alsacien de cœur. »

1) Sylvain, vous êtes l'un des Partenaires du Club des Ambassadeurs d'Alsace. Pouvez-vous nous expliquer les raisons de votre engagement ?

Les motivations sont simples et évidentes, l'Alsace et Mulhouse en particulier méritent d'être promues.

Cette région et cette ville, que j'ai découvert a mon arrivée en 2005, disposent de nombreux atouts touristiques, culturels et économiques qui ont contribués à en faire une région attractive, dynamique et offrant un cadre de vie ou de séjour très plaisant..

2) Vous êtes également Directeur d'exploitation du Musée Français du Chemin de Fer. Pouvez-vous nous décrire votre activité ?

C'est un métier passionnant et hors de toute routine. Il s'agit de faire "vivre" le plus grand musée européen du Chemin de Fer.

Cela englobe, entre autre, la gestion financière, la gestion du personnel, le marketing, l'élaboration de projets afin de dynamiser et faire évoluer le site.

En résumé, la mission principale est de contribuer à l'accueil de toujours plus de visiteurs afin de leur faire découvrir un site touristique et culturel de qualité. Dans ce sens, nous travaillons également à la renommée de la région et de Mulhouse.

3) Quel a été votre parcours ?

C'est un parcours d'autodidacte qui m'a conduit dans divers domaines.

J'ai fait une partie de ma carrière dans l'hôtellerie restauration. Un domaine aussi passionnant que difficile m'ayant permis de passer par tous les emplois, de voiturier bagagiste à directeur d'établissement 4 étoiles.

J'ai, auparavant, fait une carrière militaire. Débutant au rang de soldat du continent et se terminer au rang d'officier dans l'Arme Blindée Cavalerie après un passage par l'Ecole Spéciale Militaire de Saint Cyr.

Deux domaines très différents mais ayant contribués à une expérience professionnelle et humaine d'une grande richesse me permettant aujourd'hui d'assumer mes fonctions à la direction de la Cité du Train.

4) Comment s'exprime votre engagement en faveur de l'Alsace ?

C'est un engagement simple et quotidien.

Il consiste le plus souvent, que ce soit dans mon activité professionnelle ou ma vie privée, à porter les couleurs de cette belle région et vanter ses nombreux attraits.

Cela passe par des actions de promotions du musée et des autres sites touristiques de la région, mais également par un discours mettant en valeur la qualité de vie que j'ai découvert à mon arrivée.

5) Etes-vous Alsacien d'origine ou de cœur ?

Je suis Bourguignon ayant poussé le "vice" jusqu'à naitre aux célèbres Hospices de Beaune.

Dès lors, je viens d'une région qui partage de nombreux points communs avec l'Alsace : la gastronomie, le vin, le tourisme, la culture.

Je reste très attaché à "mes caves beaunoises", mais la découverte de l'Alsace, ainsi que la qualité de vie que je connais dans cette région depuis plus de six ans font de moi un Alsacien de cœur.

6) Qu'est-ce qui vous plait le plus en Alsace ?

Comme j'ai pu l'exprimer précédemment, l'Alsace a de nombreux points communs avec ma région d'origine a laquelle je suis très attaché.

Dès lors, tout l'intérêt de cette région tient à ses particularités fortes. La culture, le mode de vie, les mentalités régionales, fruits d'une histoire très riche, constituent, entre autre, un véritable intérêt.

7) S'il n'était possible d'utiliser qu'un seul argument, lequel choisiriez-vous pour inciter un de vos contacts à venir en Alsace (pour visiter, étudier, travailler ou vivre) ?

La qualité de vie.

8. Quels sont vos « outils » pour vendre l'Alsace ?

• La aussi, des outils simples comme un discours positif et convaincu.
  
• Le plaisir de vivre dans une région et une ville attractives et dynamiques.

9. Si l'Alsace était...

• Un moment ? Un repas entre amis dans une auberge située dans un village viticole
• Une histoire ? La riche histoire de cette région qui permet de mieux comprendre et apprécier ce qu'elle est aujourd'hui.
• Un cadeau ? Une invitation pour visiter la Cité du Train
• Un sens ? La vue
  
• Une personne ? Un viticulteur, un grand restaurateur, le propriétaire d'une ferme auberge, un paysan du Sundgau, etc... Le choix est vaste.

10. Un mot pour la fin ?

ELSASS : comment ne pas l'aimer !!!!

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Merci, Sylvain, d'avoir accepté de témoigner à propos de votre expérience en Alsace !

Accédez au site du Musée Français du Chemin de Fer.

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