André RENAUDIN, Directeur Général de AG2R LA MONDIALE

« La qualité de vie en Alsace est exceptionnelle, avec un accueil peu commun. »

1) André, vous êtes l’un des Partenaires du Club des Ambassadeurs d’Alsace. Pouvez-vous nous expliquer les raisons de votre engagement ?

L’Alsace est la terre qui m’a vu grandir. C’est peu après l’avoir quittée que j’ai pris conscience de mon attachement. Je suis heureux de pouvoir soutenir le Club et participer ainsi au rayonnement d’une histoire et d’une culture qui me sont chères.

2) Vous êtes également Directeur Général de AG2R LA MONDIALE. Pouvez-vous nous décrire votre activité ?

Mon métier a deux facettes principales. D’une part, assurer une bonne gouvernance de nos instances paritaires et mutualistes et préparer ainsi leurs décisions stratégiques. D’autre part, assurer la direction générale du Groupe, avec l’appui du comité exécutif, afin que les décisions des instances soient mises en œuvre de manière optimale.

3) Quel a été votre parcours ?

C’est par le contrôle des assurances que j’ai entamé ma carrière de plus de 30 ans dans l’assurance.

Les étapes marquantes auront été ensuite le cabinet du ministre de l’économie et des finances, la direction internationale des AGF, la Fédération française des sociétés d’assurance comme délégué général du Groupement des assurances de personnes puis de la Fédération, La Mondiale, et AG2R LA MONDIALE comme directeur général.

4) Comment s’exprime votre engagement en faveur de l’Alsace ?

Mon engagement est avant tout celui d’un terroir : je ne manque pas une occasion, et voire je la suscite, d’évoquer l’Alsace en général et Sélestat en particulier.

J’ai bien sûr adhéré à l’Association générale d’Alsace et Lorraine (AGAL) en même temps que je me suis occupé de la Saint-Nicolas des Alsaciens à Paris auprès de Denis Kessler.

Je suis également « Ami de la Bibliothèque humaniste de Sélestat », dont j’ai tous les annuaires.

5) Etes-vous Alsacien d’origine ou de cœur ?

Maman  est haut-rhinoise, Papa est mosellan, et ils se sont établis à Sélestat en 1957. J’y ai grandi, fait mes études de la maternelle au baccalauréat, avant d’être étudiant à Strasbourg.

L’Alsace est notre pays : Saint-Nicolas et Noël sont alsaciens, en famille et avec son sapin.

6) Qu’est-ce qui vous plait le plus en Alsace ?

J’aime l’Alsace, du Rhin aux Vosges, en passant par le vignoble, ses villages et ses villes. Au fond, je suis baigné dans « L’histoire de l’Alsace heureuse » avec ses « Clochers dans les vignes ».

7) S’il n’était possible d’utiliser qu’un seul argument, lequel choisiriez-vous pour inciter un de vos contacts à venir en Alsace (pour visiter, étudier, travailler ou vivre) ?

La qualité de vie en Alsace est exceptionnelle, avec un accueil peu commun.

8) Quels sont vos « outils » pour vendre l’Alsace ?

• Comme je l’ai dit précédemment, je ne manque pas une occasion de vanter les merveilles de l’Alsace, que ce soit lors de dîners entre amis ou lors de rencontres professionnelles.
  
• J’ai ainsi souhaité que le Groupe devienne partenaire de l’Académie de gourmandise dont l’ambition est de promouvoir les produits du terroir. L’Académie sillonne la France et s’est arrêtée, le 19 septembre 2010, à Strasbourg.
  
• Cette cérémonie, qui réunit les personnalités locales, a permis, une fois de plus, de mettre l’Alsace à l’honneur.
  
• Notamment, Clause, cuisinier du Maréchal de Contades, qui créa le pain de foie gras.

9) Si l’Alsace était…

• Un moment ? Le rattachement de l’Alsace à la France
• Une histoire ? Celle des amours de Goethe et de Frédérique Brion
• Un cadeau ? Une visite de la presqu’île de Strasbourg, avec déjeuner et dîner.
• Un sens ? La vue
• Une personne ? Henri Loux

10) Un mot pour la fin ?

J’attends avec impatience la fusion des deux départements du Rhin dans la région Alsace.

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Merci, André, d'avoir accepté de témoigner à propos de votre expérience en Alsace !

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